Pour le rayonnement de l’histoire régionale laurentienne
et de l’aménagement du territoire patrimonial

MRCC’est en réalisant une série historique sur la période de la colonisation des Laurentides, que nous nous sommes aperçus que les Laurentides que nous connaissons aujourd’hui, n’avaient pas encore une identité rassembleuse.

Les régions administratives créées en 1966 et refaçonnées en 1987 au mépris des assises historiques régionales ne sont pas chapeautées par une entité pour gérer avec une vue d’ensemble la totalité du territoire. (À l’exception du Conseil de la Culture gérant des intérêts culturels de la région mais sans pouvoir décisionnel et association touristique des Laurentides qui n’est pas gouvernemental)

Au fil des années les municipalités ont vu leur territoire aussi se transformer,  sans égard aux identités sectorielles liées aux délicates décisions sur la sauvegarde du Patrimoine. (Voir le volet La Chapelle)Village2

C’est de là que nous est venue l’idée de mettre sur pied un outil de communication pour favoriser des échanges patrimoniaux et culturels qui laisseront une empreinte durable sur la région : un site web dédié !

Pourquoi ne pas donner la parole aux gens qui s’intéressent à l’histoire et au patrimoine culturel de la région et de nous faire part de leurs interrogations, de partager leurs réalisations et leurs projets ?

À l’origine, le site Laurentides en Histoires fut conçu pour la diffusion de la Web série sur la Colonisation des Laurentides, avec l’arrière pensée de le transformer progressivement en une sorte de projet pilote. Voilà comment est né Laurentides en Histoires!Logo noir

Est-ce que la Colonisation des Laurentides est vraiment terminée ?

La période colonisatrice des Laurentides est riche en histoire, en aventures et en découvertes.

  • Les premiers habitants des Laurentides ont dû surmonter toute une série de défis considérables lorsqu’ils ont commencé à s’installer. Ils ont su s’adapter à des conditions climatiques difficiles pour cultiver la terre, pour construire leurs maisons et survivre à des maladies et des conflits avec d’autres groupes de colonisateurs.
  • La région étant alors éloignée des premiers centres urbains et dépourvue de voies de communication praticables, les colons devaient parcourir de longues distances pour obtenir des fournitures, échanger des biens ou communiquer avec d’autres collectivités.
  • Les Laurentides étaient couvertes de forêts denses; les colons devaient défricher à la dure pour cultiver et élever du bétail.
  • Ils ont dû construire leurs propres maisons, leurs granges, ériger des églises et d’autres bâtiments essentiels à la vie communautaire.
  • La sécurité personnelle et la survie étaient des préoccupations constantes.

En dépit de ces défis, les premiers colons ont persévéré, créant des communautés solides et contribuant à faire l’histoire des Laurentides. Leur courage et leur résilience sont dignes d’admiration.

Sommes-nous les dignes successeurs de leur ténacité ?