Nous vous présentons ici les principaux artisans qui oeuvrent présentement à la conception et la réalisation du film.
Gilles Bouvrette
De technicien en arpentage pendant 10 ans, je me suis spécialisé par la suite en communication, au début pour le monde artistique (management d’artiste, direction artistique etc.). J’exploitais en même temps un studio d’enregistrement audio qui au fil de l’avancement de la technologie est devenu un studio Multimédia.
C’est avec Les productions Vidéo Didac qui produisaient des films corporatifs que j’ai vraiment pris mon élan d’artiste multidisciplinaire, soit en dessinant des images, écrivant des scénarios et en créant les musiques de nos productions.J’ai terminé ma carrière (raison de santé) comme propriétaire et journaliste pour le premier journal virtuel des Laurentides : La Quinze Nord.
Jean Lambert
Complice dans ma vie et partenaire avec Les productions Vidéo Didac, nous avons su nous adapter au fil du temps aux nouvelles technologies.
Excellent orateur et communicateur, son érudition fait en sorte que les textes des scénarios prennent une expansion que lui seul sait ennoblir. Il anime ce documentaire et participe à la narration (Pour en savoir plus).
Notez qu’il fut président de la chambre des notaires pendant 3 mandats, moins actif présentement comme notaire il me compléte dans la scénarisation. Passionné d’histoire il saura intéresser le spectateur au rôle du clergé, des structures sociales dans l’évolution de notre société laurentienne.
Jean-Hugues Bouvrette
Comme le dit l’expression : « la pomme n’est pas tombée loin du pommier », mon fils Jean-Hugues est bachelier en création 3D, il est à la fine pointe de la technologie et possède déjà un vaste répertoire de réalisations en audiovisuel.
Son expertise équilibre mes réalisations présentes, même si parfois respectueusement il me traite de dinosaure.
Son expertise équilibre mes réalisations présentes, même si parfois respectueusement il me traite de dinosaure.
À mes yeux, il n’y a rien de mieux qu’un dinosaure pour raconter de vieilles histoires, n’est-ce pas ?