Gilles Proulx n’est pas un inconnu au Québec. Il est cet animateur de radio, de télévision et ce globetrotter invétéré qui se passionne pour l’histoire, sujet de nombreux livres qu’il a écrit.
Dans le cadre du projet Laurentides en histoire, je l’ai invité à venir nous parler de la Nouvelle France, un sujet qu’il affectionne particulièrement, en témoigne la parution de son livre Nouvelle-France, 1524-1763. Gilles, ce communicateur passionné d’histoire, accepta et s’exécuta avec un plaisir évident.
Maniant le verbe comme pas un, il agit souvent comme conférencier à retracer l’histoire du Québec.
Son discours jette sur l’histoire un éclairage bien personnel. Il m’a signalé l’énorme respect qu’il a face aux professionnels de l’histoire avec qui il collabore régulièrement à l’occasion de la rédaction de ses chroniques et de ses livres.
Lors d’une entrevue avec KarineVilder du Journal de Montréal, il confiait : « Au fil du temps, les livres m’ont ainsi apporté une culture extraordinaire. Après le chien, le livre est vraiment le meilleur compagnon de l’homme ! » C’est dire!
Je dois me restreindre tellement sa feuille de route est impressionnante. Je porte à cet homme au franc parler, une admiration sans bornes.
Pour le connaître davantage, je vous invite à prendre connaissance de son parcours impressionnant sur Wikipédia .
Gilles Proulx est toujours bien actif dans les médias. Il est souvent appelé à intervenir sur des sujets d’actualité. Son opinion fait référence lors des soubresauts de notre société.
À l’âge de la retraite depuis un certain temps, Gilles Proulx n’est pas prêt de vouloir tirer sa révérence du domaine publique et cela, pour notre grand bonheur.
Merci infiniment Gilles, grand défenseur de la langue française, pour ta précieuse collaboration.